Les DRH ne sembleraient guère favorable au conseil d’entreprise le considérant comme une instance de co-décision et que leurs entreprises ne sont pas prêtes pour une co-gestion à la française.
Les DRH semblent préférer que demeure la distinction entre les élus du CSE et les délégués syndicaux. Concernant le CSE, les RRH disent se heurter à l’opposition des syndicats qui craignent de perdre des élus et qui exigeraient le maintien du nombre de sièges actuels tout comme la participation des suppléants aux réunions du CSE. A cet effet, les représentants de proximité apparaîtraient comme une opportunité de reclasser des salariés protégés sans mandat.[/restrcit]